La fabrication du patch Viaskin

Parallèlement aux études menées sur l’efficacité et l’innocuité du patch Viaskin, DBV Technologies s’est intéressée à sa mise en production, afin de soutenir le rythme de sa commercialisation, une fois les feux verts obtenus. Pour cela, la société a fait évoluer sa technologie Electrospray (à découvrir ici !) pour répondre à ces impératifs.

En 2009, pour satisfaire ses besoins pour ses études précliniques, DBV technologies a utilisé deux prototypes. Puis, elle a conçu une machine de troisième génération, baptisée « GEN3.1 », qui était alors capable de produire 15 000 patchs par lot, pour une base annuelle de 750 000.

En 2014, une nouvelle version, baptisée « GEN3.2 », améliore encore ces résultats en poussant les capacités à 60 000 patchs par lot et 2 250 000 à l’année.

La fabrication du patch Viaskin

Au cours du second semestre 2015, elle a signé un accord de développement avec FAREVA, pour l’accompagner dans le lancement de ses produits. Avec « GEN4.0 », elle devrait ainsi pouvoir honorer les futures demandes commerciales, dans la mesure où les capacités de cette machine s’élèvent à 500 000 patchs par lot et 20 à 30 millions à l’année.

Zoom sur la fabrication du patch Viaskin
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